10 idées reçues (et fausses) sur les ascenseurs de maison

L’ascenseur particulier est-il réservé aux séniors privilégiés ? Non, et ce n’est d’ailleurs pas le seul préjugé dont il est victime. La preuve en dix exemples !

Un ascenseur de maison prend une place folle.

Faux. Installés dans une gaine fermée par des cloisons en plaques de plâtre, les ascenseurs particuliers n’occupent pas plus de place qu’une cabine de douche.

Cela coûte une fortune.

C’est faux. Accessible à partir de 15 550 € pose comprise, un modèle Etna France ne coûte pas plus cher qu’une piscine ou une belle cuisine.

On peut rester coincé à l’intérieur.

Non. En cas de panne d’électricité, une clé de sécurité permet de faire descendre la cabine manuellement et d’en sortir en toute sérénité.

C’est réservé aux personnes handicapées.

Pas du tout. Un ascenseur privatif améliore le confort de toutes celles et ceux qui habitent un logement à étages (duplex, triplex, maison).

Ce n’est utile qu’aux personnes âgées.

Faux. Si vous êtes amenés, comme tout le monde, à transporter du linge ou des sacs de course, un ascenseur de maison peut devenir votre meilleur allié.

C’est disgracieux et impersonnel.

Faux. Un ascenseur se fond dans la décoration de tout intérieur en s’harmonisant avec ses matières et ses couleurs.

Cela consomme beaucoup d’énergie.

Faux. Le fonctionnement par un vérin hydraulique des ascenseurs de maison Etna France limite par exemple la consommation d’électricité.

Cela coûte cher à entretenir.

Faux. Aucun contrat de maintenance n’est imposé, et la révision se limite à un contrôle par an.

Cela demande des travaux très lourds.

Non. Un seul mur suffit pour fixer les guides de l’appareil. Et celui-ci est d’ailleurs généralement fixé sur une paroi existante de la maison (en parpaings creux ou en briques creuses.)